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29 mai 2007 2 29 /05 /mai /2007 10:56
En vacances, chez ma mère, j’en profite pour aller avec elle,au concert de Patrick.
On arrive vers 16h à la salle, pas trop de monde, que ce soit pour la fan-club que les files d’attente normales. Ma mère de met dans la file normale et moi celle du fan-club. Heureusement c’est à l’ombre, cela évitera que j’attrape des coups de soleil.
 
Vers 17h40, Stéphane vient nous faire entrer, on s’assoit dans les gradins en attendant Patrick qui n’arrive que vers 18h35. Petite répétitions, deux chansons surtout pour régler des problèmes de son.
 
19H10 : les portes pour le public s’ouvrent, ma mère me rejoint.
 
20h40, le concert démarre, avec le son de la guitare de Patrick et les premiers accords d’Alors regarde, ce qui provoque l’enthousiasme du public. La salle du Nikaia est archi-pleine d’ailleurs. A milieu d’Alors regarde, le rideau s’effondre sur scène pour faire découvrir le décor et les musiciens. Patrick enchaîne avec les titres habituelles : Je m’attendais pas à toi, Je fais semblant, Dors, raconte-moi, pour la vie, J’t’le dis quand même. Le public est au rendez-vous et chante sans discontinuité. Après un Décalé de fou, Patrick chante Où sont les rêves qu’il ne chantait pas lors de la première partie de tournée.
 
Avant de commencer à interpréter Combien de murs, Patrick parle de Mislav Rostropovitch, cet excellent violoncelliste qui a joué devant le mur de Berlin au moment de sa chute et décédé il y a peu de temps à qui il dédie cette chanson et la chante avec beaucoup d’émotion. Il enchaîne avec le merveilleux Adieu. Puis viens Gosse en cavale, Help en hommage à John Lennon et voilà en partie acoustique, entouré de ses musiciens proche de lui. Fais saluer Hervé Brault et Loïc Pontieux qui font les choristes sur certaines chansons et remarque que Loïc a beaucoup de succès mais aujourd’hui encore plus, puisqu’il est de Nice et donc beaucoup de famille dans la salle. Il chante Elle voulait tout, on amant de Saint Jean et nous fait grâce de ses petits déhanchés si délicieux (lol). Sur Place des grands hommes, il parle de ses copains d’enfance.
 
Ensuite il dédie Casser la voix à Grégory Lemarchal avec qui il avait partagé cette chanson en duo et sur laquelle il avait ressenti beaucoup d’émotions. Le public scandera d’ailleurs le prénom de Grégory. Très émouvant.
 
Patrick sort de scène et revient pour les « rappels », lettre au père noël, puis se remet au piano pour interpréter J’te mentirais et Qui a le droit. Entre-deux, le public se met à chanter Joyeux anniversaire, Patrick fait remarquer que c’est avec trois jours d’avance mais que c’est gentil. Patrick ressort de scène après qui a le droit, le public reprend presque en cœur le refrain de cette chanson jusqu’au retour des musiciens tous habillés du T-shirt All Access, c’est reparti avec Marre de cette nana-là toujours version jazzy, et à la fin il fait remarquer que cela rappelle de bons souvenirs que c’est ses débuts où il était accompagné de 3 jolies danseuses dont une niçoise qui est d’ailleurs dans la salle : Sophie Duez.
 
Il présente ses musiciens avec un petit mot pour chacun et veut éviter de présenter le batteur mais il y est obligé par le public et nous dit que l’on tombe facilement dans les clichés. Il parle également du foot suite au match Nice – PSG.
 
Il chante Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ! A la fin c’est le salut final avec les musiciens et fait mine de partir mais on lui y empêche, alors Patrick décide de nous chanter une toute nouvelle chanson, Vous qui nous ai dédié, première écoute et je suis déjà conquise, le texte est sympa et musicalement elle tourne bien.
 
Enfin vient la dernière chanson pour la présenter, il parle de son fils qu’il réveillait pour voir q’il dormait bien et respirait, ce qui a donné à une question de son fils, pourquoi tu fais ça, et pour le rendormir alors qu’il voulait jouer, non pas au poker comme quelqu’un la soufflait dans la salle, est de le sui chantait rien qu’à lui chaque soir une nouvelle chanson, et il finit par l’attendrissant Ma maison de papier, et Patrick s’en va en nous saluant.
 
Vraiment très bon concert avec une bonne ambiance, moi qui avait peur que ce soit un peu pépère. Très bonne soirée !
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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 14:13

Au stand merchandising, on avait la possibilité d'acheter l'inédit en single dédicacée :

Le chemin

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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 14:07

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3 avril 2007 2 03 /04 /avril /2007 11:48

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2 avril 2007 1 02 /04 /avril /2007 12:11

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2 avril 2007 1 02 /04 /avril /2007 12:02
Je suis arrivée vers 18 heures à Lille, pas de bouchons, je me gare facilement. Devant l’entrée de la salle Vauban au Grand Palais, déjà pas mal de monde. Certains ont l’air perdu, il faut dire que juste à côté, il y a le Zénith Aréna avec le spectacle des années 80 et certaines personnes se trompent de files.
 
J’observe les personnes autour de moi, et j’ai du mal à cerner le public, beaucoup de 40-50 ans voire plus, quelques jeunes et enfant, mais vraiment pas la majorité. Je me demande quelle sera l’ambiance, d’autant plus que les fauteuils sont confortables et n’insistent pas à se lever.
 
Vers 19h, les portes du hall s’ouvrent mais on est arrêté à un premier contrôle, de loin on peut croire qu’il y a 4 points de passages mais en fait il y a qu’un, et du coup, cela fait un entonnoir et provoque des bousculades. De plus ils ne font passer les gens que 10 par 10. Bref l’organisation est à revoir. Pas terrible.
 
Entrée dans la salle, je trouve une place au 9ème rang, un peu décalé sur la gauche. Le scène est plus bas, je suis en hauteur car en fait la salle est dans le style amphithéâtre.
 
20h30, les lumières s’éteignent, les musiciens et Roch arrivent sur scène, la musique démarre, on devine Roch en train de jouer de l’harmonica et doucement la lumière s’allume.
 
Cela commence doucement, en fait pendant 1 heure, Roch enchaînera quasiment que des ballades dont beaucoup que je ne connais pas. Et part quelques chansons des 2 premiers albums que je connais mieux dont les arrangements ont été modifiées, plutôt sympas mais plus lent que les originaux, c’est presque ennuyeux, d’autant que Roch change de guitares entre chaque chanson, il y a donc des noirs et cela donne un spectacle haché. Je peux juste reconnaître que Roch a jolie voix. Roch parle un peu entre certaines chansons, notamment pour introduire le Berceuse du petit diable qu’il dédie à ses fils.
 
Heureusement au bout d’une heure, les personnes du 1er rang se lèvent et se mettent devant la scène, je décide rapidement d’en faire de même. Et là le spectacle devient plus rythmé et avec des chansons plus connues. Mais cette partie est trop courte à mon goût, à peine 30 minutes, heureusement il y aura 2 rappels, dont l’incontournable Hélène. Donc en tout le concert aura duré 1h40.
 
Sur Tant pis, Roch Voisine longe la scène et prend la main des personnes qui sont au bord de la scène. Donc après Garou, la semaine dernière, c’est Roch qui me prend la main !
 
Bon je n’ai pas pu prendre beaucoup de photos, car les vigiles ont fait un excès de zèle.
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30 mars 2007 5 30 /03 /mars /2007 08:59

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29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 18:22

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29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 18:18

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28 mars 2007 3 28 /03 /mars /2007 12:14

 

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